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Lot Voyages et migrations

Réf.: Lot Mig (6 + 12)

N° 6 : Les migrations de nos ancêtres en France 1814-1914 (disponible).

N° 12  Voyages et déplacements de nos ancêtres de l'Ancien Régime à 1814 (disponible).

 

Disponibilité: Disponible Épuisé
Prix promo 20,00 € Prix normal 20,00 €

Les frais de port sont de 2 euros à partir de 35 euros pour la France métropolitaine.

Théma 6 : Le XIXe siècle est celui des migrations des ruraux vers les villes. Ce fascicule a un double objet : définir et présenter les migrations de nos ancêtres en France métropolitaine au cours du XIXe siècle et, grâce à l’analyse de cas familiaux concrets et au suivi de lignées entières, essayer de comprendre les raisons et les modalités de ces déplacements, notamment identifier la cause du départ (« l’élément déclencheur »), puis reconstituer les étapes du chemin migratoire de nos grands-parents des campagnes vers les villes. Chacun y trouvera donc des éléments et des pistes de recherche pour retracer la migration de ses propres ancêtres.

Théma 12 : Ce douzième fascicule de la collection Théma se propose d’étudier les déplacements des individus et des familles en France durant l’Ancien Régime, la Révolution et le 1er Empire, de 1600 à 1814. Il vient en complément au Théma 6 consacré à la mobilité de nos ancêtres de 1814 à 1914.

Ainsi, avec ce fascicule, divisé en trois parties, nous allons d’abord découvrir les sources disponibles pour suivre la mobilité de nos ancêtres, puis les modalités de leurs déplacements (comment voyageaient-ils ?), et enfin les facteurs sociaux à prendre en compte pour étudier un déplacement ou une migration : en particulier l’environnement familial, économique, politique, religieux et culturel.

Comme nous le verrons, même si ces déplacements géographiques ne sont pas toujours faciles à saisir à travers les archives, il apparaît bien que la mobilité faisait partie intégrante des habitudes de vie de nos ancêtres, y compris des ruraux dont la circulation, dans leur espace familier ou lointain, fut plus intense qu’on ne l’a longtemps écrit.